- Bart Demyttenaere, écrivain
Avec 3 jeunes écrivains locaux prometteurs et un illustrateur, Bart élabore un guide de voyage littéraire pour les européens qui pour la première fois, visitent le Congo. Davin, Georges, Patrick et Willy forment leur propre collectif d’écrivains. Ils se débrouillent avec les rares moyens dont ils disposent et publient leurs oeuvres essentiellement par interne.
Mon Congo veut les aider à réaliser ce rêve. Le projet s’est entamé grâce au support d’un nombre de généreux sponsors individuels. L’ éditeur EPO espère publier le livre en néerlandais et en français avec, comme apothéose, une fête du livre dans la ville de Goma. Ainsi la culture peut honorer les gens et la communauté entière de Goma.
A Mihri (au sud du Kivu) la soeur Rosaline est directrice d’une école Secondaire. Environ 500 élèves marchent chaque jour pendant des heures pour arriver à temps à l’école. Ils le font volontiers, car l’institut “Maendeleo” fait beaucoup d’ efforts pour les préparer au futur
'Mes enfants ont besoin de livres, ainsi que mes collègues enseignants et moi-même” déclarait soeur Rosaline. “Les histoires ouvrent le monde aux élèves et leur offrent de l’espoir d’un avenir meilleur.' Mon Congo espère pouvoir surprendre soeur Rosaline et ses élèves. Il veut envoyer un conteneur, rempli de livres, ainsi que de panneaux solaires, d’ordinateurs et des matériaux de sport.
Dans une cité de grande affluence au bord de Bukavu, Victor dirige l’école technique “Institut Avenir”. Les nouveaux locaux de classes sont presque achevés. Victor a 67 ans et est père d’une famille de 6 enfants. Il n’a pas droit à la retraite, comme bien d’autres congolais. Il y a quelques années l’école a été pillée par des bandes armées. La quasi totalité des instruments et machines ont été volés. De plus, le pays a besoin de jeunes techniciens qui ont besoin aussi du matériel pour apprendre le métier.
Mon Congo cherche des moyens pour la reconstruction de deux ateliers. Dès que la paix sera rétablie dans le pays, l’asbl organisera un projet de collaboration entre des jeunes flamands et congolais. En effet, deux cultures différentes peuvent s’enrichir mutuellement en apprenant l’une de l’autre.
24 heures sur 24 des bénévoles de la “Radio Kaoze” fournissent des programmes à la mesure de la population. Dans une portée de 200 km ils atteignent les populations les plus simples, même celles qui se situent dans les plus petits villages de la brousse. Par des programmes d’éducation, les agents bénévoles de la Radio Kaoze luttent contre le choléra, le typhus du ventre, la malaria et l’analphabétisme croissant.
De manière subtile ils avertissent leurs auditeurs de dangers possibles et des situations intolérables dans leur environnement. Avec un équipage moderne ils auront les moyens d’atteindre plus de gens réculés
Le professeur Oscar Luboya est à la tête d’un institut de soins médicaux et sage-femmes. Il y a plus de 3’000 étudients de tous les coins de l’ancienne province de Katanga. L’école a une grave pénurie de presque tout, mais surtout du matériels éducatifs. C’est du matériel dont les futurs infirmiers/ères et sage-femmes ont besoin pour apprendre leur métier.
Le professeur Luboya a presque 70 ans et travaille encore à plein temps à l’école et à la pédiatrie de l’hopital général qui se situe au centre de la ville. Il a fait un doctorat à l’institut de médecine tropicale à Bruxelles. Il est fier de sa connaissance du dialecte anverssois qu’il maitrise toujours avec splendeur.
Bart est devenu membre du bureau de l’asbl congolais CENAPAC, qui se soucie de la préservation de l’environnement, de la vie des gorilles de montagnes, des colonies des hippopotames et des chimpanzés. A cause du déboisement, dû à la surpopulation de certains milieux et des guerres, l’habitat de ces animaux fantastiques est en danger
Mon Congo s’engage à payer les frais du congrès annuel à Bukavu de deux jours. Des gardeurs de parc, des associations de la nature et des écologistes essayent d’expliquer aux chefs locaux les attouts importants de la biodiversité extraordinaire dont disposent leur parcs naturels. Ils les sensibilisent sur la plus value que ces parcs apporteraient au développement du tourisme durable qui va profiter aussi bien aux hommes qu’aux animaux.
Vivien et Djino sont deux jeunes de vingt ans qui rêvent d’un diplôme universitaire. Vivien travaille dans un restaurant à Kalémie et Djino est Disc- jockey (D.J) à Kisangani. Ils gagnent environ 60$ par mois. Avec cette somme ils essayent de soutenir leurs parents, frères et soeurs. Vivien veut devenir un instructeur alors que Djino rêve d’une carrière de danseur et chanteur professionel.
Mon Congo rassemble des fonds pour guarantir un futur pour ces deux jeunes.
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• Nous cherchons aussi des bénévoles pour l’organisation des activités génératrices de bénéfices de toutes sortes. Vous pouvez nous contacter à partir de l’ adresse e-mail suivant.